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Isaac Pharrell▽ King of hell
PAROLES ÉCHANGÉES : 30
| Sujet: Isaac ❥ Winter song. Jeu 27 Fév - 23:40 | |
| Isaac Pharrell feat. sebastian stan
Bonjour, je m'appelle Isaac Pharrell et j'ai vingt-sept ans physiquement, cent ans mentalement. Juste au cas où vous auriez l'envie de me donner un petit cadeau j'ai vu le jour le vingt-quatre mars à Wareham, petite campagne anglaise ! Dans la vie ? Ah ce que je fais ! Et bien c'est simple je suis infirmier, à l'hôpital. On me considère comme sorcier. Si on parle de relation personnelle, il est primordial de savoir que je suis en partenariat avec kleenex, donc célibataire, pour l'éternité.
Attachant ◭ Sournois ◭ A un grand sens de l'humour ◭ Violent ◭ Joviale ◭ Impulsif ◭ Très bon comédien ◭ Manipulateur ◭ Sociable ◭ Torturé. T’es un peu une bombe à retardement, tu te caches derrière un masque, pour faire du mal à autrui, les torturer, te venger, parce que le monde t’a persécuté, oui, il t’a fait tellement souffrir, t’en es arrivé à détester l’univers entier, innocent ou pas, pour toi, personne n’échappera à ta colère, cette rage qui te ronge et te détruit finira pas te consumer. T’aimes sourire aux étrangers, t’es sociable, tu bosses même dans un hôpital, mais ça, c’est pour pouvoir tuer en toute sécurité, faire passer tes meurtres pour des accidents, pour la vie d’un patient qui s’achève tout simplement. T’es sournois, violent, quand tu passes à l’action, rien ne semble pouvoir t’arrêter, t’as un objectif en tête, tu le termines, point. T’essayes de te faire discret, tu te fais passer pour un humain, t’arrives à te fondre dans la masse, à te faire apprécier, tu montres des faux sentiments faisant croire à ceux qui te considèrent comme un ami, que tu es quelqu’un de bien, de confiant, mais t’es bien loin de ce gars drôle et attachant qu’ils voient. Tu caches un manipulateur, une âme meurtrie par des années de misère, t’as trouvé une petite ville inoffensive pour déverser tout cette haine accumulée t’es le diable incarné, le roi des enfers, un monstre. Pseudo ➤ .idjits Âge ➤ Dix-huit ans. Célébrité choisie ➤ Sebastian sexy Stan. Découvert ce forum grâce à ➤ Merci facebook Qu'en pense tu ➤ Je l'aime, je l'adore, my god, je vous aime tout court Crédits ➤ Tumblr. |
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| | | Isaac Pharrell▽ King of hell
PAROLES ÉCHANGÉES : 30
| Sujet: Re: Isaac ❥ Winter song. Jeu 27 Fév - 23:40 | |
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Mon Histoire
T’errais sur les routes, encore et encore, t’avais quitté cette maudite ville pour te réfugier quelque part, t’avais traversé l’Angleterre, explosé l’Europe, l’Asie, les Etats-Unis, tu changeais de destination comme bon te semblais, tu voyais des paysages variés, tu déversais ta rage, ta colère profitant des guerres pour te cacher, faire passer ces meurtres étranges en combat entre deux soldats, t’avais intégré les rangs d’Angleterre pour finalement déserter, te faire passer pour mort, t’avais vécu, survécu, chaque soir tu mourrais et au lever du soleil, une nouvelle vie, une nouvelle identité s’offrait à toi, tu changeais de nom comme l’on changerait de sous-vêtements, t’inventant une histoire, volant parfois même celle d’un défunt. T’étais devenu un monstre et il devenait de plus en plus fort. Tu te disais que c’était normal, que ce n’était pas toi, c’était le monde qui ne tournait pas rond, et tu n’avais pas totalement tort. T’étais un gamin tout ce qu’il y avait de plus normal, t’avais juste ce petit truc qui te rendais unique, ce don, un petit sorcier qui ne demandait qu’à avoir des amis, tu te voyais encore là, au milieu de la cours de ton école, les genoux collés contre ta poitrine, tes yeux noyés de larmes tandis qu’autour de toi, tes camarades s’amusaient à tourner en rond, te lançant des pierres, te crachant dessus comme tout le monde le faisait. On ne te comprenait pas, personne ne le pouvait, tu le savais, ils étaient ignorants, ils étaient effrayés, de toi, de ton secret que tu tentais en vain de cacher. On te poussait, on te dévisageait, personne ne voulait s’asseoir à côté de toi, alors tu restais seul, le petit Isaac éternellement seul qui ne demandais qu’à rire avec n’importe qui, de n’importe quoi, mais non, t’étais destiné à souffrir, chaque jour, tout le temps et ça, ça n’allait pas changer. T’attendais impatiemment l’hiver, cette saison qui te sauvait chaque année, personne ne sortait, le froid faisait même fuir le plus brave des hommes. Tu restais assis sur un banc, les pieds dans la neige à observer les flocons qui venaient mourir sur ta peau, une vie éphémère qui te fascinaient, ils naissaient, vivaient et mourraient dans un laps de temps extrêmement limités. Tu ne trouvais pas ça juste, le monde n’était pas juste, les humains tuaient, battaient, torturaient, ils étaient horribles mais vivaient longtemps, certains dans des conditions extrêmes, d’autres se contentaient de claquer des doigts pour satisfaire leurs besoins, les flocons eux, étaient silencieux, inoffensifs, se contentaient d’être là, simplement, tu les enviais terriblement. Lorsque le printemps pointait le bout de son nez, quand ce manteau blanc scintillant disparaissait lentement, ton estomac se serrait, petit à petit, tu sentais que tout allait redevenir comme d’habitude, le quotidien, dur et morne te retombait sur la figure pour te faire redescendre de ton nuage, pour te tirer de tes rêveries. Le sorcier du village allait se retrouver affubler de coups, chaque soir tu le savais, ta mère allait te prendre dans ses bras pour pleurer son pauvre enfant, se demandant pourquoi le destin s’acharnait sur lui et chaque fois que le soleil se couchait, tu la rassurais, feignant un sourire, faisant mine que tout allait pour le mieux, mais elle n’était pas dupe et priait au pied de ton lit, te pensant endormi, priait pour qu’enfin cesse cette terrible épreuve. Le monde avançait, technologiquement parlant mais aussi bien mentalement, psychologiquement, Wareham était bloqué dans le temps, ils fuyaient les sorciers et les sorcières, s’amusant à les persécuter, des battus étaient organisées pour traquer les démons et toi, t’étais bloqué avec ces êtres que tu considérais comme primitifs. Mais un jour allait marquer la fin de cette vie de misère, un jour précis tu t’étais levé, montrant au grand jour ta vraie nature confirmant les dires de chaque habitant de ce village maudit. Ils étaient entré chez toi, t’empoignant jusqu’à te broyer les os du bras, tu devais avoir vingt-ans à peine, tu hurlais, te débattant mais rien n’y faisait, ils étaient beaucoup trop forts pour toi. Le soleil déclinait à l’horizon comme pour se cacher de ce carnage, laissant derrière lui une nuée rougeâtre. Ils t’avaient attaché à un bûcher, t’essayais en vain de te détacher, te secouant dans tous les sens tandis que la foule clamait ta mort. Tes yeux filèrent sur tous les habitants présents, des sourires, des regards haineux, ton cœur battait, fort, de plus en plus, jusqu’à en rompre ta poitrine. Le feu se faufilait entre les bûches sous tes pieds et tu le regardais ce fourbes, il allait avoir ta peau, t’allais griller là comme un idiot. Alors tu criais, tu jurais que t’allais revenir qu’importe la forme ou le moment, mais ils allaient périr pour t’avoir offensé, attaché à ce bûcher. Les vieux livres parlent de ta mort, d’un certain Isaac Pharrell brûlé vif en dix-neuf cent trente-quatre, c’était faux. Ta mère c’était jeté sur un habitant, lui tranchant la gorge, le visage inondé de larmes, le vent se levait faisant danser les flammes qui se rapprochaient dangereusement de ta petite personne. Ses cheveux volaient, ses yeux devenaient plus sombres, tu n’étais finalement pas le seul, elle aussi était un monstre. Elle les balançait, un à un, dans le vide, contre les murs, ils fuyaient, hurlaient, suppliaient cette femme que tu ne reconnaissais plus, mais elle s’en fichait pas mal. Elle t’avait détaché, te jetant hors du feu, dans un buisson, t’étais sonné, tu voyais trouble, elle n’y était pas allé de main morte, tu la fixais et c’est à ce moment-là que ta vie s’acheva réellement. Un homme au ventre bien rond et à la figure déformée s’était jeté sur elle, la plaquant au beau milieu de ce brasier, elle se débattait, criait, tu t’étais levé d’un coup, te précipitant vers elle, les yeux inondés de larmes, tu l’avais vu périr par les flammes, ça devait être toi, ça aurait dû. Tu serrais les dents et les poings, te tournant vers ces êtres répugnants qu’étaient les humains, t’avais déversé ta rage, les piégeant et les tuant un à un, dévoilant enfin ton vrai visage, celui d’un être détruit par le temps, par les hommes, par cette souffrance que tu tentais d’évacuer en te vengeant. T’avais quitté la ville, fuyant tes démons, essayant de semer ton passé, t’avais fait le tour du monde pour étancher cette soif de meurtrier, mais rien n’y faisait, t’as finalement posé tes valises à Mystic Falls, trouvant un boulot d’infirmier que t’avais appris sur le tas des années auparavant, voilà deux mois maintenant, tu te retenais, mais tu le savais, t’allais craquer, t’allais tuer, encore et encore, sans arrêt.
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Dernière édition par Isaac Pharrell le Ven 28 Fév - 1:18, édité 1 fois |
| | | Elena GilbertFONDA GILBERT« Double Humaine Amoureuse - non un mix de tout
PAROLES ÉCHANGÉES : 131
| Sujet: Re: Isaac ❥ Winter song. Jeu 27 Fév - 23:42 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Isaac ❥ Winter song. Jeu 27 Fév - 23:55 | |
| Sebastian Stan = , super choix et effectivement en sorcier, il déchire Chewii mdrr Bienvenue à toi et courage pour ta fiche |
| | | Isaac Pharrell▽ King of hell
PAROLES ÉCHANGÉES : 30
| | | | The FateFate - Je vois tout, Je suis votre pire cauchemar
PAROLES ÉCHANGÉES : 139
| Sujet: Re: Isaac ❥ Winter song. Ven 28 Fév - 1:23 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Isaac ❥ Winter song. Ven 28 Fév - 8:25 | |
| Je suis PUTAIN D'EN RETARD mais je tenais quand même à te souhaiter la bienvenue plus officiellement ! J'adore ton perso, alors t'a intérêt à me refiler un lien qui démonte sa m'man !!! |
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| Sujet: Re: Isaac ❥ Winter song. | |
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